De 2000 à 2016, notre engagement principal était de pallier, en partie, à la perte d’un ou des deux parents et donner, grâce au parrainage, la possibilité d’un meilleur présent et d’un avenir au X Orphelins du sida.

De quelques mois à 18 ans, les enfants orphelins de père, de mère ou des deux parents, suivis par nos partenaires, bénéficient d’une allocation mensuelle de 25 euros offerte par leurs marraines ou parrains vivant en Europe. Pour la plupart d’entre eux ils bénéficient d’une attention particulière avec l’échange de lettres, de petits cadeaux, d’emails, de messages, WhatsApp, etc. Notre engagement est que ; si le parrain ou la marraine vient à cesser le parrainage, OSI prend l’enfant en charge, jusqu’à ses 18 ans ou jusqu’à ce qu’un nouveau parrain ou une nouvelle marraine prenne le relais.

Depuis 2017, Orphelins Sida International s’engage aussi à tout mettre en œuvre pour qu’aucun des enfants VIH+, en contact avec ses 9 partenaires, ne meurt du sida.

C’est l’opération « En 1000 jours, Sauvons 1000 vies »

La médecine sait soigner les enfants porteurs du VIH grâce aux ARV en particulier (mettant le virus en sommeil ) pour d’assez longues années. Si des enfants meurent encore du sida c’est à cause de choix politiques, financiers, fait ou non fait.
L’engagement d’OSI est de mobiliser la société civile, ses partenaires et les Pouvoirs Publics pour qu’ils fassent les bon choix : zéro décès d’enfants dû au sida dans le monde à partir de ce jour !

Orphelins Sida International travaille uniquement avec des partenaires du Sud investis dans la lutte contre le sida avant le début du partenariat. La lutte contre le sida ne pouvant pas être une opportunité financière pour les partenaires. OSI ne crée aucune antenne sur place, elle travaille avec des ONG locales qui connaissent le terrain et qui sont acceptées par les populations les plus vulnérables.

OSI a posé trois préalables avant d’établir des partenariats :

• Les partenaires devaient travailler avec toutes les populations, quelques soient leur religion ou leur ethnie ;
• Les partenaires devaient promouvoir le préservatif comme outil incontournable de la lutte contre le sida, y compris pour les adolescentes et adolescents ;
• Les bénéficiaires de ces ONG devaient être au moins à parité filles-garçons.

Ensuite nous avons établis des partenariats avec des structure différentes :

• Soit des organisations d’abord investies dans la lutte contre le sida (CSAS CI, ANSS Burundi, CORASON A CORASON Pérou, AMACACH Togo) ou dans le domaine de la santé (ASED Cameroun, IRDRP Inde, ASDEB Togo) et développant un programme destiné aux enfants ;
• Soit des ONG s’occupant en priorité d’enfants (AJPO Burkina, FASAB Bénin) et ayant le souhait de développer une action dans la lutte contre le sida des enfants et adolescents.